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Présidentielles en France 2012

2 avril 2012

Nous sommes en avril 2016 : 4 ans après la réélection de Nicolas Sarkozy...I had a nightmare...

En ce début de mois d'avril 2016, le moral est au plus haut pour les entrepreneurs mais au plus bas pour les salariés. Après des mois de négotiations, de manifestations et de luttes sociales, le plan de révision du Code du travail vient d'être définitivement adopté au parlement. Désormais, pour le bien de la #compétitivité de nos entreprises, les entrepreneurs pourront d'une part moduler le temps de travail des salariés sans pour autant que le salaire soit aligné sur cette durée du #travail et d'autre part notre "bon vieux CDI" vient de se transformer en "contrat-résultat" qui permettra aux dirigeants d'entreprise de recruter et de licencier plus facilement sans la lourdeur administrative d'antan. Concernant le premier point, la durée du travail, il est bien loin le temps du "travailler plus pour gagner plus" du premier quinquennat de Nicolas Sarkozy, désormais ce serait plus "travailler plus pour une France forte". En effet, les dirigeants d'entreprise pourront désormais maintenant recourir au chomâge partiel sans que soit apportées des compensations aux salariés et d'autre part, lors de pics de commande ou de production, les patrons pourront demander à leurs salariés de travailler autant que nécessaire pour l'entreprise et sans que cela soit perçu comme des heures supplémentaires. Nicolas #Sarkozy, au plus bas de sa popularité (mais sans pression électorale désormais) a expliqué aux Français lors de son dernier discours télévisé qu'il n'y avait plus d'autre choix que celui-ci, si on souhaitait que la France conserve sa compétitivité et son double A. En ce qui concerne la prostestation de ces mois passés, la majorité des salariés ont bien essayé de freiner l'adoption de cette réforme mais ils ont bien compris en même temps que le taux de #chomâge élevé, la baisse de l'assurance chomâge (en durée et en compensation), et la baisse des autres aides sociales ne leur donnaient plus véritablement le choix que de travailler et donc d'accepter cette flexibilité imposée.

Quant à la disparition du CDI, là aussi, le gouvernement a expliqué que cette mesure allait attirer beaucoup d'entrepreneurs étrangers, frileux jusqu'à présent d'investir en France en raison des lourdeurs de gestion administratives bien spécifiques à la France et que cela permettrait enfin de diminuer le taux de chômage.  Désormais avec ce contrat, les employeurs pourront licencier rapidement leurs salariés s'ils estiment que les résultats attendus ne sont pas à la hauteur de leurs attentes. Pour les salariés, cela les incitera constamment à rechercher la performance pour assurer leur revenu sous peine de laisser leur place à d'autres. Ainsi on voit bien que la flexibilité est le maître mot en ce début d'avril 2016 car il est selon le gouvernement la seule recette à la compétitivité de la France et à sa croissance.

Espèrons que cette science-fiction en reste bien une...et vous qu'en pensez-vous ?

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28 mars 2012

Hypocrisie et mauvaise foi

Dans toute l'histoire de la cinquième république, jamais un candidat sortant n'aura autant usé de toutes les moyens mis en sa possession pour le bien de sa réélection. Il y a dans sa stratégie point de vision, point d'espérance mais la détresse d'un homme assoiffé de pouvoir prêt à tout pour arriver à ses fins même si cela doit passer par :

- Le dénigrement de son adversaire principal

- L'arrogance et le mépris du soi-disant "battant"

- L'utilisation du pouvoir et de ses moyens encore en sa possession

- La leçon de morale du fort envers les plus démunis incapables de se défendre

- La démagogie et la mauvaise foi

- Ses réseaux d'influence pour le faire passer pour un courageux, expérimenté et protecteur.

A l'image de Berlusconi qui a entâché l'Italie par ses frasques diverses, la France, notre France aura connu tous les bas fonds de la politique avec cette homme qui l'aura entrainée dans la voie des valeurs nauséabondes.

Car l'enjeu de l'élection doit être là aussi, sur la France que nous laisserons à nos enfants. Je ne parle pas de la France de l'insécurité, de l'immigration ou autre maux que ce président prétend stopper. Non je parle des valeurs et du rêve que devrait inspirer notre pays.

J'aimerais voir en France des gens heureux, accueillants, ouverts aux autres, heureux de partager des souvenirs avec d'autres, et des gens indignés des injustices de notre monde. Si la compassion, l'écoute de l'autre, le temps de vivre, le dialogue étaient plus présents en France alors nous aurions envie d'y vivre, de nous battre pour ce pays, de chanter haut et fort la Marseillaise et de créer de l'innovation qui nous mettrait à l'abri des concurrents mondiaux.

Au lieu de cela, pendant 5 ans, nous avons subi toutes les petitesses d'un homme sans envergure qui nous a fait croire qu'il fallait vivre pour travailler pour enrichir les puissants auxquelles il s'apparente ...Quelle Tristesse ! Bien que je sois un français de souche, comme dirait l'autre, je me sens apatride pour l'instant !

 

14 mars 2012

Murs Murs

sarko

13 mars 2012

Les Gens et l'argent

"j'aime les gens quand d'autres aiment l'argent". Cette phrase de François Hollande prononcé lors de son discours au Bourget signifie beaucoup de choses. Elle pourrait d'ailleurs être légèrement modifiée et se transformer en "j'aime la France envers qui j'ai des devoirs quand d'autres aiment d'abord le pouvoir"..

Ne nous trompons pas, si Sarkozy s'est lancé dans la campagne avec toute l'énergie qu'on lui connaît, c'est que son honneur est au bout. Dans 5 ans, il n'aura plus à subir le résultat des urnes et pourra transmettre (avec plus ou moins d'envie) la succession à ses fidèles lieutenants. Aussi, ces présidentielles 2012 ne concernent pas simplement la réélection d'un homme mais la seule possibilité que les français auront d'exprimer leur opinion sur Sarkozy et sur la manière dont il a exercé le pouvoir durant ces 5 années.

Dans 5 ans, si les français n'aiment pas la manière dont ils pensent que la France aura été traitée à cause de Sarko, son successeur pourra tenir un discours différent et faire comme Sarkozy en 2007 c'est-à-dire évoquer lui aussi un changement de style.

Aussi, c'est bien la question suivante qu'il faut se poser...Voulons-nous montrer à notre génération que la présidence de la république française ne doit pas être le jouet d'un ambitieux pret à tout pour l'avoir et le garder mais qu'au contraire cela implique la possession de valeurs telles que le sens de la justice, l'écoute attentive des gens (et non pas seulement d'un seul homme en l'occurence Patrick Buisson), la capacité d'avoir une vision du pays et de la faire partager à tous, l'envie de rassembler, le goût pour le dialogue et la paix, etc...En toute honnêteté, je sais pas si les autres candidats ont ses valeurs mais au moins l'un d'entre eux devrait avoir la chance de montrer que le pouvoir peut le transformer et non pas le rendre arrogant, autoritaire et inbus de soi-même.


13 mars 2012

Bilan de Sarkozy

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25 février 2012

Vision de la société et valeur du Travail.

Plutôt que de s’interroger pour quel candidat voter en 2012 suite à leurs propositions respectives, ou suite à des initiatives sorties du chapeau au moment d’allocution télévisée, ne serait-il pas préférable de s’interroger sur leur projet de société.

Pour #Nicolas Sarkozy, le projet n’est pas seulement celui de réduire les effectifs publics pour diminuer les dépenses publics, réduire la dette nationale et faire ainsi plaisir à l’Union Européenne et aux agences de notation. Non, son projet est de réduire toutes les dépenses de l’état (même lorsque la dette-prétexte aura disparu) pour ne faire des citoyens que des agents économiques, producteurs de croissance. Autrement dit, une des seules sources de revenus des français ne sera bientôt plus que celle du #travail en parallèle de la diminution progressive (voire la disparition) de toutes les aides sociales (qui seront présenter négativement comme de l’assistanat). Ainsi, chaque salarié n’aura plus le choix que d’accepter tous les changements que fera son entreprise (augmentation de la durée du travail sans compensation, chômage partiel sans compensation, disparition du CDI pour un contrat de travail plus précaire, diminution des jours de congés sans compensation, etc.). Qui en effet dans ce cas-là aura le courage de s’opposer à son entreprise à partir du moment où la seule source de revenu sera le travail ? Cependant comment peut-on en arriver là sans soulever d’indignation ? Tout d’abord, si on parle de projet de société, cela dépasse largement le cadre d’un quinquennat. Le but consiste en effet à gagner du territoire sur les acquis sociaux en les dévalorisant puis en les diminuant progressivement sur une durée inconnue. En parallèle, le changement ne se faisant pas uniquement sur du négatif, il faut construire aussi du positif en introduisant la notion de valeur du travail. Qui peut en effet être contre cette idée que l’argent se gagne à la sueur de son front ? N’y a-t-il pas plus belle fierté que de récolter les fruits de son labeur ? Ne serait-on pas excédé si on voyait d’autres personnes gagnées de l’argent sans rien faire ? Voilà la valeur du travail  et voilà la vision de Nicolas Sarkozy.

Sauf que cette valeur est complètement biaisée de nos jours. Pourquoi ?

Tout simplement par l’écart des revenus et des conditions de travail constatées de nos jours ! La méritocratie basée sur la quantité et la qualité d’un travail bien fait n’existe plus. Certains voudraient nos faire croire qu’ils sont arrivés là où ils sont actuellement par le travail uniquement (12 heures de travail par jour, 15h, 20h…qui dit mieux !?). Qui peut penser aujourd’hui qu’un ouvrier de chantier ou d’usine aura une belle situation professionnelle et personnelle à 60 ans après s’être « dépensé » sans compter au travail. Tout juste sera-t-il plus aigri de voir que d’autres personnes s’en sont sorties bien mieux que lui sans en faire autant. Alors ou est le problème ? Tout simplement dans les inégalités et opportunités que vous croiserez au départ de votre vie. D’où vous venez, de quel milieu social, dans quelles écoles avez-vous été, quels sont vos diplômes, quelles sont vos relations, quelle rencontre clé ferez-vous au début de votre carrière ? Tous ces éléments détermineront « en grande partie », la motivation que vous aurez pour votre travail (choix ou non) et la manière dont ce travail vous sera perçu (joie ou corvée, épanouissement ou stress, valorisant ou contraignant, …). Aussi, je crois qu’il est ridicule d’entendre ceux qui ont réussi vous faire la leçon sur la valeur du travail et sur le plaisir de travailler plus et plus longtemps. Car en face la souffrance peut être grande et devenir haineuse de la réussite « facile » d’autres personnes. Aussi on peut se dire qu’il est tout à fait normal de s’interroger et de se dire à 18 ans « moi qui vient d’un milieu modeste et qui ait arrêté mes études à 18 ans…pourrais-je mener un jour la vie de « Jean Sarkozy » même en travaillant 20 heures par jour ? ».

Bien entendu, tout n’est pas aussi « déterminé » par les éléments extérieurs et on peut très bien réussir sa vie malgré les difficultés et obstacles autour de soi. Mais ne faisons pas de la réussite de certains une généralité. Ce qui devrait être général, c’est que toute personne qui travaille durement gagne un bon salaire, qu’il lui soit présentée au cours de sa vie des personnes pour l’aider à évoluer professionnellement, qu’elle ne sente jamais son travail comme une épée de Damoclés au dessus de sa tête mais qu’elle en perçoive la valeur et la récompense et enfin qu’elle se sente à des moments donnés libre de son travail enfonction des circonstances heureuses et malheureuses de la vie qui la feront se percevoir non pas comme un simple agent économique mais avant tout comme une personne.

Pour en arriver là, il faudrait d’abord changer notre mode de pensée. Ne pas stigmatiser ceux qui ne travaillent pas à un moment donné de leur vie, ne pas afficher sa réussite et sa richesse de manière ostentatoire, montrer que la course à la consommation n’est pas un facteur de réussite ni de bonheur. Ensuite, il faudrait prendre des mesures pour réduire les inégalités entre salaire / rémunération y compris (et surtout) dans les milieux médiatiques qui nous entourent, encadrer les gains faciles, définir un projet d’éducation égal pour tous, etc., etc., etc.

Bref rien de tout ceci ne sera entrepris avec de la vision de l’UMP qui préférera conserver les acquis des réseaux de ses membres.

Espérons que ceci pourrait être alors la #vision de la #société que nous proposerait la gauche ?

7 février 2012

Propos de Claude Guéant sur les cvilisations

Le ministre de l'intérieur, #Claude Guéant, a affirmé lors d'un colloque organisé par l'association étudiante UNI à l'Assemblée nationale que "toutes les civilisations ne se valent pas". Voilà de nouveaux propos qui ont suscité une vive polémique et qui montrent une nouvelle fois que la France ne sortira pas grandit de ce quinquennat. 

Ceci dit, je crois qu'il serait préférable d'arrêter là la controverse. En effet, peu importe de savoir pourquoi ce ministre a tenu de tels propos qui sont au mieux de l'ignorance sur le sens du mot "Civilisation", au pire de la provocation politicienne, car les réactions aux réactions critiques de ces propos peuvent être encore plus dommageables quelquefois. Je m'explique. Le principe de gouvernance de ce quinquennat de "Sarkozy" n'a jamais été basé sur la "pédagogie" mais sur une idéologie libérale et sur l'émotionnel. On peut comprendre les frustrations, les déceptions, les craintes et la nostalgie de nos compatriotes français. Pour tous ceux qui ont vécu une partie de leur jeunesse dans l'après-guerre et les trente glorieuses, la France a profondément changé depuis. On ne reconnaît plus les cartes postales de l'enfance et on se demande à qui l'on doit ces changements brutaux. Hé oui ! Tout changement est forcément douloureux car il signifie que "les bons souvenirs" liés à "une époque" ne seront plus que du passé et qu'on n'est pas absolument pas certain que ce qui nous attend est forcément mieux. Ce changement là soulève beaucoup d'émotions et il est compréhensible. Cependant à partir de ce moment là, 2 choix s'offrent à nous : Celui d'expliquer ces changements, de les accompagner, de montrer ENSEMBLE les problèmes qu'ils suscitent et les défis qu'ils impliquent pour établir une autre vision d'une France heureuse. Et cela c'est l'ouvrage de toute une vie. Et ce n'est pas simplement aux chercheurs de le faire mais à toutes les personnes de bonne volonté surtout lorsqu'elles ont des responsabilités publiques. Ce travail de pédagogie est long et fastidieux mais il grandit indéniablement une nation qui se projette dès lors vers le futur sans pour autant laisser tomber les valeurs d'antan et les personnes qui les portent. Malheureusement ce choix-là est encore plus difficile lorsque d'autres personnes font le choix opposé : Celui de se battre contre ces changements qui ne dépendent pas d'eux et sur lesquels ils n'ont finalement que peu de prise. Pourquoi ? Tout simplement parce l'empathie qu'ils utilisent dans leur discours sera plus facilement acceptée que la pédagogie et qu'elle pourra ainsi ruiner toutes les années passées de tentatives d'accompagnement de ces changements. C'est la loi de l'émotion. Dans ce cas là les pédagogues peuvent être amenés à être brutal pour exprimer leur "raison" et pour manifester leur désacord, mais ce n'est pas souhaitable quelquefois puisque les personnes sensibles à ces discours peuvent y voir une violation de leurs émotions de la part d'intellectuels et s'exprimer avec d'autant plus de véhémence. Le débat alors en devient passionné et des clivages peuvent resurgir faisant de la majorité une population ayant perdu le contrôle de son destin.

Aussi, il est peut-être préférable de laisser se terminer ce "quinquennat de l'émotion" sans réagir mais de donner au suivant la direction d'un cap qui dépassera très largement les cinq ans mais qui expliquera et accompagnera les gens dans leur diversité et leur dialogue. Voilà bien un projet qui peut soulever ma fierté d'appartenir à un pays dans lequel je suis né par hasard comme tout le monde.

3 février 2012

Sincèrité ?

Le mot "sincèrité" dans la bouche du président sortant a tout de même beaucoup de mal à passer. Lorsqu'on est sincère avec les autres, on leur doit la vérité. Si les "vérités" économiques peuvent être diverses, il en existe une seule sur sa candidature probable. Aussi, continuer à jouer les présidents et à "faire sa campagne" en utilisant les moyens et les relations de la fonction présidentielle n'est pas vraiment ce qu'on peut appeler un acte "sincère". Ce jeu de chat et de la souris avec les journalistes plaît beaucoup à Nicolas Sarkoy qui ne s'en était pas privé lors de la campagne présidentielle de 2007. Aujourd'hui cette attitude pourraît s'avérer désastreuse tant elle paraît en contradiction avec la sincèrité que sont en droit d'attendre les électeurs. On peut très bien continuer son rôle de président "efficace et discret" et "s'afficher comme un candidat souhaitant être réélu". Les 2 ne sont pas incompatibles au contraire mais ils nécessitent des environnements très différenciés. C'est en tout cas ce que j'appelerai de la sincèrité. Pas vous ?

3 février 2012

Impopulaires ou faussement impopulaires ?

Le jeudi 2 février 2012, Alain Juppé était l'invité de l'émission de France 2 "Des paroles de Actes". Suite à une remarque de Franz-Olivier Giesbert sur le fait de ne prendre des mesures impopulaires (TV sociale) que maintenant, Alain Juppé s'est défendu en affirmant que Nicolas Sarkozy avait choisi dès le début de son quinquennat de prendre des mesures nécessaires même si celles-ci étaient impopulaires. Pourtant à y regarder de plus près, ceci n'est pas tout à fait exact. La stratégie de Nicolas Sarkozy qui ne souhaitait pas soulever l'opinion générale contre lui, s'appuyait sur des effets d'annonce et des interventions médiatiques suivi d'enquêtes et de sondages (Rappelons-nous à ce sujet les dépenses de l'Elysée sur les sondages que la Cour des Comptes avait pointer un an après le début du quinquennat de Sarkozy). Si la proposition dépassait la majorité des opinions émises au cours de ces enquêtes, alors il n'hésitait pas à la faire passer "avec un semblant d'autorité" quite à s'attirer des minorités d'opinions contre lui. Ainsi bon nombre de propositions ont été votées avec cette stratégie...sauf la TVA sociale qui en 2007 ne récoltait pas la majorité des opinions. Faire voter cette mesure début 2012 serait donc bien maintenant la vraie première mesure impopulaire...mais cela s'explique certainement  par le fait que la stratégie du candidat supposé de l'UMP a changé face aux incertitudes du prochain scrutin présidentiel. Etant donné qu'il sait qu'il n'a plus actuellement l'opinion générale avec lui, il souhaite avant tout montrer son courage politique face à une mesure dont les français ne verront pas les effets avant octobre 2012. Il mise avant tout sur cette valeur pour peser sur le vote des français. Qu'en pensez-vous ?

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Présidentielles en France 2012
  • Ce blog évoquera les choses dont il faut se rappeler avant de voter pour la présidentielle de 2012 en France et posera des questions sur la vision et les valeurs de la France que nous souhaitons élaborer ensemble et transmettre à nos enfants
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